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En date du 19 mai 2025 l’Assemblée Générale d’AVOCATS.BE, regroupant l’ensemble des Bâtonnier(ère)s, a approuvé à l’unanimité les comptes 2024 de notre institution. Nous tenions à profiter de l’occasion pour vous les présenter en quelques lignes et tableaux récapitulatifs.

Dinant vivait, les 14 et 15 juin derniers, son ultime festivité en autonomie totale : une flamboyante « rentrée » marquée par une revue hilarante, un dîner de gala et l’annonce de la fusion avec le barreau de Namur.

Avocat du maire d’Istanbul Ekrem Imamoglu, Mehmet Pehlivan a été placé en détention après avoir refusé de témoigner sans autorisation légale. Une arrestation parmi tant d’autres dans les rangs de l’opposition turque.

Menacées, jugées, prises à partie : les avocates pénalistes Dosé et Minkowski alertent sur les dérives d’une société qui confond défense et approbation. Leur plaidoyer en faveur de la présomption d’innocence dénonce la complicité silencieuse des parquets et l’hystérie des réseaux sociaux.

Le règlement relatif à l’espace européen des données de santé, publié le 5 mars 2025, vise à créer un cadre commun pour l’échange et la réutilisation des données de santé dans l’ensemble de l’Union européenne. Il introduit des dispositions relatives à l’accès des patients à leurs données, à leur réutilisation à des fins de recherche et de politiques publiques, ainsi qu’à l’interopérabilité des dossiers médicaux électroniques. Plusieurs mesures mises en œuvre en Belgique, notamment le projet BIHR et la Health Data Agency, devancent son entrée en application.

Dans un arrêt du 14 mai 2024, la Cour de justice de l’Union européenne examine les conséquences, en droit interne, de la violation du droit d’accès à un avocat lors de la phase initiale d’une enquête pénale. Elle rappelle qu’un justiciable doit disposer d’un recours effectif permettant de contester la régularité des moyens de preuve obtenus. Cette décision relance la question de la compatibilité, en droit belge, du test de l’article 32 du Titre préliminaire du Code de procédure pénale avec les exigences du droit de l’Union.

« Nous sommes des enfants gâtés de la liberté » : dans une interview accordée au Monde, Me Patrice Spinosi alerte sur l’érosion des libertés et les dangers d’un glissement légal vers un autoritarisme. Une réflexion relayée et commentée par le président Stéphane Gothot.

Me X peut-il encore intervenir lorsqu’il a conseillé les enfants de Monsieur A, puis agit pour un nouvel héritier contre leurs propres enfants ? Un imbroglio successoral entre secret professionnel, conflit d’intérêts et règles déontologiques.