Maître, vous avez la parole
Une jeune plaideuse au débit abondant était affectée, comme nous le sommes souvent, d’un tic de l
Après le 11 septembre 2001, les autorités du monde entier ont reçu un blanc-seing de leurs popula
J’ai fait ‘mon malin’ en matière de bon usage (Tribune n°260). On m’a fait remarquer que j’avais utilisé la formule, jugée incorrecte, pareil que. À l’heure de rédiger ces lignes, j’en débats toujours avec l’auteur du reproche.
Certes, les adjectifs semblable, identique et pareil se construisent avec la préposition à. Qui dirait, d’ailleurs, Il est semblable que son frère ou Il est identique que son père ?
Je demande à un confrère de me confirmer qu’une affaire peut être considérée comme close et lui dis, au passage, le plaisir qui fut le mien de l’avoir rencontré à cette occasion. Ça se fait … Il me répond : Cher Confrère, Nous vous confirmons également que nous clôturons ce dossier, dans lequel le plaisir que nous avons eu à vous rencontrer est partagé. Bien dévoué, Un joli condensé !
Que l’avocat parfait me jette la première pierre !
Dans cette lettre ouverte, l'expérience avec JustRestart est mise en lumière, détaillant les difficultés rencontrées lors de la tentative de navigation et d'utilisation de la plateforme destinée à la médiation de dettes. À travers un récit empreint de sarcasme, les défis posés par l'interface et les procédures requises sont exposés, soulignant un écart significatif entre les ambitions de modernisation de la justice et la réalité de l'expérience utilisateur.
La loi du 8 novembre 2023 suscite des inquiétudes quant à son impact sur les juges de paix suppléants, qui se verront interdire de siéger dans certaines matières à partir du 1er septembre 2025. Yves Demanet souligne les implications négatives de cette mesure, la percevant comme une marque de défiance envers les magistrats suppléants et une menace pour la cohésion entre l'avocature et la magistrature. Cette législation pourrait non seulement affecter la réputation des juges suppléants mais également accroître la distance entre les deux corps professionnels du système judiciaire belge.
« Le ministre de la justice n’a pas sa langue en poche. Mais il a tout faux ! ». Tel est le titre d’un article que j’ai posté sur LinkedIn le dimanche 21 janvier à la lecture d’une interview du ministre de la justice dans l’Echo. Je persiste et signe : il n’est pas certain que notre ministre de la justice maîtrise tous les codes. Certainement pas le code de déontologie des avocats.
À propos de l’acte insensé dont furent récemment victimes de pauvres supporters suédois dans notr
Dans un contexte de manque criant de magistrats, la justice se trouve en proie à un dilemme persistant : comment répondre aux défis croissants malgré des ressources limitées ? Jean-Marie Dermagne, ancien bâtonnier, exhorte les juges à reconsidérer leurs priorités.