Maître, vous avez la parole
La loi du 8 novembre 2023 suscite des inquiétudes quant à son impact sur les juges de paix suppléants, qui se verront interdire de siéger dans certaines matières à partir du 1er septembre 2025. Yves Demanet souligne les implications négatives de cette mesure, la percevant comme une marque de défiance envers les magistrats suppléants et une menace pour la cohésion entre l'avocature et la magistrature. Cette législation pourrait non seulement affecter la réputation des juges suppléants mais également accroître la distance entre les deux corps professionnels du système judiciaire belge.
« Le ministre de la justice n’a pas sa langue en poche. Mais il a tout faux ! ». Tel est le titre d’un article que j’ai posté sur LinkedIn le dimanche 21 janvier à la lecture d’une interview du ministre de la justice dans l’Echo. Je persiste et signe : il n’est pas certain que notre ministre de la justice maîtrise tous les codes. Certainement pas le code de déontologie des avocats.
À propos de l’acte insensé dont furent récemment victimes de pauvres supporters suédois dans notr
Dans un contexte de manque criant de magistrats, la justice se trouve en proie à un dilemme persistant : comment répondre aux défis croissants malgré des ressources limitées ? Jean-Marie Dermagne, ancien bâtonnier, exhorte les juges à reconsidérer leurs priorités.
Oui, aujourd’hui, j’ai défendu une morte devant un tribunal, en toge.
Notre Etat de droit est en danger, il est temps d'agir.
Pardonnez-moi cette petite facétie : la douche n'a servi qu'à capter (sournoisement,
Maître, vous avez la parole
Soyons clairs, je n’ai aucune affinité avec les idées de Monsieur Iquioussen, qui n’a d’Imam, je
L’avocate France Blanmailland a reçu le prix 2021 de la faculté de droit et de criminologie de l’