Le silence assassin

« Inter arma enim silent leges »[1].

En 52 av. J.-C.[2], l’avocat Cicéron écrit une de ses plus belles plaidoiries pour son client, Titus Annius Milo, accusé du meurtre de Publius Clodius Pulcher. C’est le « Pro Milone » bien connu des élèves de ma génération. Cicéron obtint l’acquittement du tueur alors qu’il était évident qu’il s’agissait d’un sombre assassinat politique et que les témoins étaient en nombre, les preuves évidentes. Au milieu de ce texte, habile et redoutablement efficace, se trouve une petite phrase[3] qui a l’air pleine de bon sens et qui se traduit pudiquement par l’idée de légitime défense. Il n’en est rien ! Le texte de notre confrère dit le contraire, car la loi « parle » évidemment de la légitime défense. Cicéron plaide que la loi peut être écartée lorsque le bon citoyen est victime du méchant. Mieux, lorsque le droit est jugé comme impuissant, le choix de la violence est une initiative parfaitement justifiée, légitime. Autrement dit la fin justifie les moyens … tous les moyens. Ce principe sera étendu aux relations entre l’État et le Citoyen et entre les États dont le dernier exemple est la revendication de la légitimité de la guerre préventive au mépris du droit international. Qui décide qui est « bon » et qui est « méchant » et qui décide que le droit est, ou pire « sera », impuissant, et quand il est permis de l’ignorer ? Voilà des questions auxquelles le madré Cicéron se garde bien de répondre les adressant flatteusement aux juges, soit les sénateurs romains qui, acquittant le tueur, se placèrent eux-mêmes au-dessus du droit donnant ainsi triple raison à la défense. Milone a eu raison de recourir à la violence plutôt que de respecter la loi, la loi n’est pas l’ultime référence du comportement humain en société et, last but not least, le Sénat est au-dessus des lois. Milone est innocent d’assassinat par ordre du Pouvoir !

Comme un écho glacial à travers les siècles, la lutte contre l’hérésie albigeoise incarnera ce principe en 1209 dans la terrible réponse faite par l’homme de Dieu à la question du baron « Novit enim Dominus qui sunt ejus »[4] annonçant ainsi l’impitoyable massacre. Il faut éradiquer le mal et si pour ce faire, Béziers avec ses enfants doit brûler toute entière, le prix à payer est « collatéral » : le divin prime sur le séculier, la religion sur le droit. Ici encore, la fin justifie les moyens. La transcendance divine de la mission justifie tout, excuse tout et commande tout. La formule est d’ailleurs extraordinairement forte, car elle donne par avance l’absolution divine à tout ce qui sera commis en son nom. C’est l’ultime absolution, car elle est pour le futur et dès lors ne nécessite ni remords ni regrets … quoi qu’il se passe, aucune faute ne sera commise ! C’est plus encore que ce que Cicéron obtint ; ici il n’y aura pas d’assassinat possible, pas de responsabilité engageable ! C’est aussi la soumission de toutes les règles séculières à la loi divine : c’est le baron représentant du Roy, chef absolu du pouvoir temporel, qui demande au prélat représentant du Pontif, le « pont » entre Dieu et les hommes, la conduite qu’il plaît à Dieu d’ordonner et c’est bien un ordre « divin » qui est donné, ordre qui impose silence au droit séculier. L’innocent n’existe pas par ordre du Pouvoir, le crime collectif ne pourra pas exister.

Antigone était-elle juste à vouloir enterrer son frère Polynice contre le décret énoncé par Créon au point d’en mourir[5] ? Sophocle dépeint une femme héroïque et tragique, qui respecte les lois divines au point d’accepter de finir emmurée vivante. Tous les écoliers ont été appelés à en admirer le courage, l’abnégation et la vertu, à en mesurer la noblesse et la piété … Mais n’est-ce pas demander d’applaudir l’extrémisme religieux le plus rude, car Créon a pour seul objectif de défendre l’État, sa population et l’ordre public. Antigone s’attaque à l’État tout entier et se moque totalement de l’intérêt général, du respect des institutions, de ses concitoyens et des lois civiles de la Cité[6], seule lui importe la transcendance normative de sa justification. Créon sait que jamais Antigone n’admettra sa culpabilité. Elle est irrémédiablement « indéradicalisable » et irrécupérable . Sophocle n’est-il pas le plus talentueux avocat des fanatiques criminels de tout poil, religieux ou pas ? N’est-il pas à l’antithèse absolue d’un Socrate qui exposait que rien n’était au-dessus des lois humaines, pas même sa propre vie ? La violence de Sophocle, qui transforme avec le plus grand talent[7] une terroriste complice d’un traître en une princesse courageuse et sympathique, victime de la cruauté de la loi humaine, est la condamnation ultime au silence de la loi temporelle : la loi est écartée par une inversion des valeurs. Ici la « méchante » est encore plus victime que l’innocent, car elle est martyre volontaire au nom des dieux dont elle atteste et témoigne sans quoi son choix serait absurde et l’effondrement certain[8]. La coupable est victime par respect du divin comme Ulrike Marie Meinhof et Gudrun Ensslin le devinrent au nom de la révolution prolétarienne. Autre époque, autres dieux, mais même mécanisme.

En ces jours d’incertitude, la question n’a pas perdu son actualité. Faut-il considérer que les limites du droit doivent se taire devant les nécessités imposées par une crise ? Telle a été la question soumise à la Chambre des Lords au Royaume-Uni en 1942. On se souviendra qu’en 1942, l’Angleterre a certes survécu à la bataille aérienne de juillet à octobre 1940, mais la situation est loin d’être optimiste. Dans le cas Liversidge v. Anderson (9) la Chambre des Lords convaincue des nécessités impérieuses imposées par la guerre, justifia les mesures exorbitantes de droit commun exercées pour maintenir emprisonné Monsieur Liversidge détenu depuis le 29 mai 1940 à la prison de Brixton, le privant ainsi du sacro-saint « Habeas corpus » de la Common Law.Cette privation était autorisée au secrétaire d’État sur la simple croyance, le simple doute, certes raisonnable, de participation à une organisation suspecte. « Whereas I have reasonable cause to believe Jack Perlzweig alias Robert Liversidge to be a person of hostile associations [*218] and that by reason thereof it is necessary to exercise control over him », dit le texte. Il est vrai qu’avec un nom patronymique en forme de réquisitoire, le doute raisonnable était nécessairement rencontré ! L’appel fut donc rejeté, consacrant le principe « Silent enim leges inter arma. »[9]

On pourrait ajouter Guantanamo ou le retrait en juin 2025 des cinq Etats européens du traité prohibant les mines antipersonnels[10], l’usage du phosphore blanc et du gaz en Ukraine ou la subtile différence opérée par les juristes de la CIA entre l’interrogatoire renforcé et la torture[11], prohibée chez nous par l’article 3 de la Convention de Rome de 1950 , prohibition dont il a été considéré de manière inquiétante qu’elle devait être réintégrée par la Convention du 26 novembre 1987 …. Tout cela n’est que l’expression du principe « la nécessité ÉCARTE la loi » (et non pas « fait ») …ce qui me semble être la traduction exacte de Cicéron dont la prudence elliptique ne trompe que ceux qui veulent croire aux Bisounours. Car c’est en armes et nombreux que les hommes de Milone vinrent massacrer le concurrent politique. Ce n’est pas la légitime défense mais l’éclipse du droit qu’a plaidée notre confrère, rien d’autre et c’est à cela que le Sénat a adhéré, bien avant Louis XIV, « la loi, c’est nous ! » disent les sénateurs en chœur et l’acquittement est donc aussi l’affirmation de la supériorité du politique sur la loi et les juges dans une effrayante actualité.

Revenant à notre question, faut-il pour lutter contre Antigone et ses enfants maudits, dire à une société en crise qu’elle est fondée à appliquer le principe de Cicéron sans autre limite que l’efficacité et sans plus de souci du droit qu’il n’y en eut à Béziers en 1209 ou dans les caves de la Tchéka en 1918[12] ? C’est ici que l’argument ad Hitlerum, le point Godwin, devient sympathiquement facile[13] comme réponse : évidemment qu’aucune police n’accepte d’être traitée de Gestapo, aucun État de nazi ! Mais d’une part les écoliers modernes ne savent plus qui est A. Hitler[14] et d’autre part la référence à Jean Moulin ne créera que peu d’émotion tant cela semble appartenir à un autre univers plus proche des pharaons que de notre actualité. Enfin l’émotion n’est pas réponse et sortir le nazisme comme épouvantail c’est ignorer qu’on a fait aussi bien voire mieux depuis. Sentimentaliser le débat n’a donc aucune efficacité durable, car un crime affreux justifiera la « question » la plus horrible aux regards des gens les plus humanistes. Un sentiment de réprobation s’efface toujours devant une émotion plus grande.

Opposer efficacité-nécessité et droit, et ainsi imposer silence au second au bénéfice des premiers comme le fit Cicéron, est une monstruosité intellectuelle qui ouvre les portes des enfers. « Adapter » le droit et ainsi le rendre complice jusqu’à permettre de justifier légalement l’injustifiable comme à Béziers est l’autre abîme où se retrouvent la conférence de Wannsee, Antoine Fouquier-Tinville, l’article 58 du Code pénal soviétique et le Malleus Maleficarum … car s’il suffit d’être légal pour être justifié … alors malheur à nous. Certes le droit doit s’adapter et l’angélisme aveugle des gentils le tue plus sûrement que le mépris des méchants, mais comment fonder et où mettre le curseur ? Enfin, s’il paraît que la généalogie du droit doit nécessairement être extrinsèque à lui-même, oublier le piège du discours d’Antigone ouvre la porte à toutes les dérives, toutes les horreurs.

Alors, la solution ? Je n’en sais rien, mais je vois les feux orange s’allumer un peu partout. Le talent de Cicéron démontre le danger d’un superbe Tribun[15]. Sophocle nous dit que le génie des idées et des mots est bien plus puissant que l’acier et les muscles, la foi plus forte que la loi. L’antidote est peut-être dans le « non ! » d’un ou d'une avocat(e)… J’ose croire que le barreau ne ronronnera pas d’un silence confortable et complice[16], car le réveil se ferait dans un monde ne permettant plus rien d’autre … que ce silence assassin[17].

Yves Demanet,
Avocat au barreau de Charleroi

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[1] Marcus Tullius Cicero, « Pro Milone », traduction sous la direction de M.P. Nisard,Paris, J.-J. Dubochet, Le Chevalier et Cie.éditeurs, chapitre I, paragraphe IV. Également titre de l’épisode 166 de Deep Space 9-Star Trek. Traduction classique : « En temps de guerre, les lois font silence ».

[2] Date approximative qui marque un des sommets de la carrière du maître. S’alliant à la crapule de Milone, Cicéron plaide devant un sénat qui lui est acquis depuis sa fonction de consul et ses quatre catilinaires … les choses changeront en 43.

[3] Le concept est repris deux fois dans la plaidoirie : "Inter arma enim silent leges. Sed tamen, hoc ipso iure, quod me tueri, hoc ipsum me a te defendere debebat." 
En effet, dans le tumulte des armes, les lois sont muettes. Mais cependant, par ce droit même, que je défends ici, il aurait dû me défendre de ta part."
Et : « …ut, si uita nostra in aliquas insidias, si in uim et in tela aut latronum aut inimicorum incidisset, omnis honesta ratio esset expediendae salutis. Silent enim leges inter arma; nec se exspectari iubent, cum ei qui exspectare uelit, ante iniusta poena luenda sit, quam iusta repetenda ». Cette loi dit que tout moyen est honnête pour sauver nos jours, lorsqu'ils sont exposés aux attaques et aux poignards d'un brigand et d'un ennemi : car les lois se taisent au milieu des armes; elles n'ordonnent pas qu'on les attende, lorsque celui qui les attendrait serait victime d'une violence injuste avant qu'elles pussent lui prêter une juste assistance.

[4] Autre forme plus complète : « aedute eos, novit enim Dominus qui sunt eios ». Les deux se traduisent par : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ».
Lors de la répression de l’hérisie Cathare, le légat pontifical Arnaud Amaury l'aurait prononcée pendant du siège de Béziers, le 22 juillet 1209, en réponse à la question de Simon IV de Montfort, demandant comment distinguer les bons chrétiens des hérétiques.
C’est aussi le titre d’un film du 27 novembre 2004 par Raphaël GlucksmannDavid Hazan et Pierre Mezerette « Tuez-les tous ! Histoire d'un génocide sans importance » sur le génocide de 1994 au Rwanda.
C’est encore une devise mercenaire « Kill them all… » … et le titre de deux films avec Jean-Claude Van Damme. Le massacre de Béziers se déroula le 22 juillet 1209, dans le cadre de la répression de l’hérésie albigeoise ; ce massacre est connu sous le nom de grand masèl (« grande boucherie » en occitan) … c’est dire !

[5] Si dans l’œuvre de Sophocle, Œdipe a fondé la psychanalyse, c’est Antigone qui me semble être la première apologie du fanatisme religieux et politique.

[6] Lire la pièce sous l’angle de Créon qui essaye de sauver Thèbes, sa population et punir la trahison de Polynice envers les siens et sa cité.

[7] Sophocle agit sur le sentiment échappant ainsi à la rigueur de l’analyse de la raison. Sentiment chez Antigone, qui est dans sa foi ; sentiment chez les spectateurs, dont la sympathie va vers la jeune femme victime du pouvoir séculier - comme la bande à Bader fut l’héroïque victime de la tyrannie de la bourgeoisie capitaliste … Le romantisme sentimental permet tous les points de vue, toutes les justifications.

[8] « Procès de rupture », eut dit Jacques Vergès, car Antigone revendique son acte et ne reconnaît pas de légitimité à ses juges ; Antigone meurt pour les dieux. Comment ne pas penser aux Béatitudes 10 et 11 : 10. « Heureux les persécutés pour la justice, car le Royaume des Cieux est à eux. »
11. « Heureux êtes-vous quand on vous insultera, qu'on vous persécutera, et qu'on dira faussement contre vous toute sorte d'infamie à cause de moi... ».
Sur l’impossibilité de déradicalisation, lire : « Les politiques de « déradicalisation » en France : changer de paradigme », France, Sénat, E. Benbassa et C. Troendlé, Rapport d'information n° 633 (2016-2017), déposé le 12 juillet 2017 : https://www.senat.fr/rap/r16-633/r16-633.html.

[9]https://uniset.ca/other/cs5/1942AC206.html
Lire l’extraordinaire opinion divergente de Lord Atkin :
« In this country, amid the clash of arms, the laws are not silent. They may be changed, but they speak the same language in war as in peace. It has always been one of the pillars of freedom, one of the principles of liberty for which on recent authority we are now fighting, that the judges are no respecters of persons and stand between the subject and any attempted encroachments on his liberty by the executive, alert to see that any coercive action is justified in law. In this case I have listened to arguments which might have been addressed acceptably to the Court of King’s Bench in the time of Charles I.” Ce à quoi le Président de la Court Suprême US, Monsieur William REHNQUIST répondra en 1998 dans son livre « All the laws but one: civil liberties in wartime » : » The laws will thus not be silent in time of war, but they will speak with a somewhat different voice."

[10] Le 27 juin, l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie ont déposé auprès du siège des Nations Unies leurs instruments de retrait de la Convention sur l’interdiction des mines antipersonnels de 1997 ; ces retraits devraient prendre effet dans six mois.
Voir https://www.hrw.org/fr/news/2025/07/01/cinq-etats-europeens-se-retirent-du-traite-dinterdiction-des-mines-antipersonnel

[11]https://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/12/09/tortures-de-la-cia-les-dessous-d-un-rapport-controverse_4537503_3222.htmlhttps://information.tv5monde.com/international/etats-unis-les-architectes-du-programme-de-torture-de-la-cia-ne-seront-pas-juges.
Voir encore l’arrêt 39630/09
 du 13 décembre 2012 de la CEDH : El-Masri c. l’ex-République yougoslave de Macédoine.

[12] Lire notamment l’article de la BBC sur la Tcheka et la terreur rouge, qui n’eut rien à envier à la terreur de 1793-1794 en France : https://www.bbc.com/afrique/monde-60929213.
Lire l’article 58 du Code Pénal soviétique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Article_58_du_code_p%C3%A9nal_de_la_RSFSR.
Lire la proposition B9‑0230/2023 de résolution du Parlement européen sur les 100 millions de victimes du communisme : https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/B-9-2023-0230_FR.html

[13] Principe de Mike Godwin, énoncé en 1990 : 
« Plus une discussion en ligne se prolonge, plus la probabilité d'y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Adolf Hitler s’approche de un ».

[14]« Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre », citation prétée à Karl Marx, juriste, dans Le Manifeste du Parti communiste. Une expression semblable est attribuée à Winston Churchill : « Un peuple qui oublie son passé n’a pas d’avenir. » 
Il semble que le texte exact soit : « Those who cannot remember the past are condemned to repeat it », George Santayana, The Life of Reason, Volume 1, 1905. (Source : Hoax-net, Le Monde).
Lire l’article édifiant : « C’est qui ça Hitler ? », LLB, Serge Dupont, 7 mars 2019.

[15] On sait la force d’un Tribun …

[16] Se souvenir de l’avertissement de F. Nietzsche :
« Chez vos hommes bons, il y a bien des choses qui me dégoûtent et ce n’est vraiment pas leur mal. Je voudrais qu’ils aient une folie dont ils périssent comme ce pâle criminel ! Vraiment, je voudrais que cette folie s’appelât vérité, ou fidélité, ou justice : mais leur vertu consiste à vivre longtemps dans un misérable contentement de soi »
(Ainsi parlait Zarathoustra, « Du pâle criminel ») https://fr.wikisource.org/wiki/Ainsi_parlait_Zarathoustra/Premi%C3%A8re_partie/Du_p%C3%A2le_criminel

[17] Se souvenir de l’avertissement de notre confrère Robert Badinter :
« Le jugement des terroristes du 13-Novembre est mené selon les règles du droit. C'est bien. J'ajouterai qu'il ne saurait en être autrement dans une démocratie, quelle que soit l'horreur du crime ».


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