Dans la Tribune n° 191, Me André RISOPOULOS, en rubrique d’introduction du « Fil blanc », s’interrogeait sur la situation des avocats mandataires de justice pour conclure qu’ils ne sont pas soumis aux dispositions de la loi préventive du 18 septembre 2017 relative au blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme « puisqu’ils n’assistent pas un client, ni n’agissent au nom d’un client, dans le cadre de ces mandats ».